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mercredi 28 mars 2007

Antoine Laurain fait sa pub à Direct 8

Antoine Laurain sur Direct 8 à l'émission TOUT VA BIEN, consacrée aux collectionneurs.

Antoine fait l'article avec Cecile et Pauline...Clefs, Jean Cocteau, bagues à poison, animaux naturalisés, flacons, grenade, Sacha Guitry, passe-partouts...Tout y passe....!

Cliquez sur le lien ci-joint pour voir la vidéo:

http://www.dailymotion.com/video/x1kfft_antoine-laurain-direct-8

mardi 27 mars 2007

Salon des dames NEVERS Samedi 31 mars et Dimanche 1 avril




Antoine Laurain est invité au Salon des dames de Nevers avec "Ailleurs si j'y suis". En dédicace le dimanche 1 avril.

dimanche 18 mars 2007

Les Editions Le Passage




Le Passage, jeune maison d'édition indépendante, développe depuis sa création en 2001 sa production éditoriale autour de la littérature française contemporaine, du roman policier, des beaux-livres, des essais sur l'histoire de l'art et des guides d'architecture.


Editions Le Passage 2, rue de la Roquette 75011 Paris
TEL: O1 48 07 57 66

jeudi 8 mars 2007

Dédicace le SAMEDI 24 Mars au "Bon Marché"à 16H00



Le samedi Après-midi
dans la très jolie librairie du bon marché...Dédicace aux passantes et passants des rayons....

Dédicace le VENDREDI 23 Mars à 20H00 au Salon du livre de Paris

Cette photo là vient de la "librairie de Paris" Place Clichy. Rendez-vous au "Salon du livre. Stand B128.

http://www.salondulivreparis.com/

Ailleurs... sur France 3 le 6mars "un livre, un jour"

L'émission d'Olivier Barrot sur France 3. Tous les soirs un livre....Ce soir là, Ailleurs....

cliquez sur le lien ci-joint pour voir la vidéo:

http://www.dailymotion.com/visited/search/antoine%2Blaurain/video/x1etdq_antoine-laurain-france-3-pour-son-r

Ailleurs...Interview pour Adventice.com

Ailleurs si j'y suis, le roman de la rentrée
Antoine Laurain, que nous avons interviewé, a l’art d’intriguer ses lecteurs. Son premier roman est certainement la surprise de la rentrée de Janvier ! Disparition, art, et amour sont au rendez-vous !

« Ailleurs si j’y suis » est un premier roman écrit d’une main de maître, original et surprenant. Nous l’avons particulièrement aimé pour son humour, mais aussi pour ses côtés parfois inquiétants. Voici un premier roman fort, prenant et délicieux. L'auteur est d'une imagination formidable. On lit ce roman d'une traite, et on en redemande ! Très certainement un des livres majeurs de ce début d'année ! Pour en savoir plus, nous avons interviewé l’auteur :

Antoine Laurain, vous signez avec « Ailleurs si j’y suis » un roman grandiose, surprenant et très abouti. Depuis combien de temps, et pourquoi, écrivez vous ?

Je retiendrais l’adjectif « surprenant » car je suis très content que les lecteurs soient surpris par une histoire, en tant que le lecteur j’aime que les écrivains me surprennent et m’emmènent par la main très loin...ailleurs. Pourquoi écrire, ? ça je ne peux pas répondre...a moins que l’ on écrive les histoires que l’on aimerait trouver en librairies...comme on ne trouve pas exactement ce que l’on a en tête, on le fait soi-même ! Peut-être ce n’est que ça.

Vous êtes assistant d’antiquaire et collectionneur, presque comme votre personnage principal. Ce roman aurait-il pu être autobiographique si vous aviez eu la même opportunité que votre personnage ?

C’est Jean d’Ormesson qui a donné un jour lors d’une émission de télé une très belle définition du roman, je cite de mémoire « un roman, c’est une histoire inventée avec des souvenirs ». Pas mal, n’est ce pas ?...Disparaître et changer de vie comme le héros de mon histoire...je crois que c’est une tentation pour beaucoup de gens. Les personnages de romans sont là pour réaliser ce que nous n’osons pas faire dans la vie.

Votre roman est très cinématographique, vous êtes aussi réalisateur… Comptez vous faire quelque chose de votre livre ? Et pourquoi avoir choisi la forme littéraire ?

Je n’ai réalisé que des court métrages en cinéma, c’est une excellente école pour la narration, ceci dit c’est transitoire...On peut faire du long métrage ou bien passer à autre chose. Je pense au chanteur Bénabar qui lui aussi vient du court métrage et du scénario, il est passé à la chanson, je crois qu’il a eut raison...Michel Houellebecq aussi voulait faire du cinéma...Je crois que le choix de l’écriture s’impose petit à petit. En définitive c’est la forme la plus libre. Adapter « ailleurs si j’y suis » au cinéma ?...le personnage pourrait faire un beau rôle pour un acteur.

Quel est pour vous la plus grande qualité et le plus gros défaut de votre livre ?

Mon roman est une sorte de conte de moderne : un homme achète un tableau et cela va bouleverser sa vie...Il va changer de vie, devenir un autre, trouver l’amour. Mais avant cela il y aura un parcours initiatique dont il devra triompher. J’aime cet aspect là, les contes sont universels.Le plus gros défaut...J’aurais du écrire 500 pages sur le sujet pour rivaliser avec les best-sellers de l’été ! Peu importe...je sors en hiver et j’aime bien le mois de janvier.

Votre éditeur a choisi de mettre la fameuse armoirie du tableau en couverture. C’est comme cela que vous l’imaginiez ?

Oui plus ou moins. Mais je reconnais que Julien Levy a eu un trait de génie en la concevant. Les armes de Mandragore ont un côté très moderne avec ce graphisme là. Vous avez remarqué qu’il y a un lion à gauche ? il est presque blanc sur blanc, on dirait un effet d’optique.

Pour vous, une disparition c’est de l’ordre du fantasme ? Un acte de bravoure ou un acte d’une lâcheté terrible ?

Je me garderais bien de juger les gens qui choisissent ce chemin. Ceci dit une disparition n’a rien d’un fantasme ! Chaque année en France les services de Police enregistrent 15000 disparitions inquiétantes...la plupart trouveront une explication : fugue, fuite financière, suicide. Plusieurs milliers ne seront jamais élucidés. S’il n’y a pas de soupçons de meurtre ou de délit grave, les personnes majeures sont libres d’agir à leur guise...

Quelle question ne vous ai-je pas poser et à laquelle vous auriez souhaitez répondre ?

Si des personnages comme le héros du livre existent vraiment dans la vie. J'ai travaillé avec un antiquaire et j'ai croisé pas mal de collectionneurs, Pierre-François Chaumont s'inspire de tous ceux que j'ai rencontré. Il y a un côté à la fois enfantin et obsessionnel chez le collectionneur, les objets d'art qu'il achete font penser aux jouets dont les enfants s'entourent et auxquels ils donnent vie par l'imaginaire. Lorsqu'on est enfant, c'est la mère qui freine sur l'achat des jouets, pour le collectionneur, je vous le confirme c'est sa femme! Pour un antiquaire il n'y a rien de plus redoutable que les femmes de collectionneurs! Tiens en parlant d'antiquaire, savez-vous quel est le saint patron des antiquaires ? Saint-Antoine...Le saint-patron des objets perdus. Ceci dit je ne m'appelle pas Antoine pour ces raisons...

Quels sont vos projets littéraires ?

Un autre roman, j’ai déjà une trentaine de pages...je vous en dirait plus bientôt, promis !
Interview: Guillaume Widmann.

AILLEURS SI J'Y SUIS...

photographies Gwenael Bollinger: http://www.bollinger.book.fr/


UN COLLECTIONNEUR

UN TABLEAU MYSTERIEUX...

UNE DISPARITION...


QUI N'A JAMAIS RÊVE DE CHANGER DE VIE ?




Ailleurs si j'y suis, aux éditions Le Passage, petit résumé de l'histoire...



LE COLLECTIONNEUR



Pierre-François Chaumont, brillant avocat parisien, est collectionneur -depuis l’enfance. Rien de lui échappe des ventes aux enchères aux vitrines des -antiquaires. Un matin qu’il déambule dans les salles d’expositions de l’hôtel Drouot, il se retrouve nez à nez avec un portrait du XVIIIème siècle. Pierre-François ne peut plus détacher son regard : le visage de l’homme en perruque poudrée, c’est le sien.
Pulvérisant les enchères, Pierre-François rapporte l’étrange tableau chez lui. Ce sera le clou de ses collections. Mais le mystère tourne rapidement à la paranoïa car ni sa femme ni ses proches ne remarquent la ressemblance. Pierre François est-il devenu fou ? Désormais obsédé par « son » portrait, il arrive à identifier le blason qui orne le tableau : celui d’une très ancienne famille noble établie depuis des siècles en son château de Bourgogne. La clef du mystère se trouve sur les terres de Mandragore. Sans rien dire à personne Pierre-François s’y rend, là une surprise l’attend : tout le monde le reconnaît.On le prend pour un autre. Pour le comte de Mandragore dont on est sans nouvelles depuis plusieurs années. Stupéfait, Pierre-François ne détrompe personne.
Dès lors, la plus incroyable des tentations s’offre à lui : changer de vie et d’identité.

L'ABSENT

Chaque année en France ce sont 12 à 15 000 Personnes majeures qui sont déclarées "disparues". La police possède son service des "disparitions inquiêtantes". 80% de ces disparitions trouveront une explication: fugues, sectes, fuites finacières, depressions, suicides...20% demeurent inexpliquées...
Parmis ceux là certains ont eu le courage et surtout l'opportunité de changer de vie. Parfois même d'identité. Ils ont osé ce saut dans l'inconnu, ce pari incensé de recommencer, ce défi de vivre une autre vie durant la même existence, faisant table rase du passé, ils sont devenu les scénaristes à temps complet de cette nouvelle histoire qui est la leur.
Ailleurs si j'y suis ne s'inspire d'aucune personne ou d'aucun fait existant ou ayant existé, selon la formule consacrée. Il est juste une proposition.

A. L

Ailleurs si j'y suis, éditions le passage. Sortie Janvier 2007. 14 Euros.